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| [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar | |
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Lazee Complètement marteau !
Nombre de messages : 1352 Age : 43 Localisation : dans les transports >< Date d'inscription : 14/03/2005
| Sujet: [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar Ven 16 Sep - 14:13 | |
| comme promis voici ce que je vais proposer à jol. Avec un peu de bol je ne serai pas tout seul (hein demos tu dois aussi coller ta production ) Exposé sur l’origine du conflit Bonta / Brakmar, de doctoresse O Lasira, tiré des ‘’Récentes archives de l’Académie de Bonta’’ Un sergent de Bonta se rendit au mess des officiers et demanda à voir son général. Quand se dernier sortit de la tente, le sergent salua puis tendit un obscur journal sur lequel un article traitait du problème qui retenait les deux armées de se jeter dessus. Le général se mit à lire : Le collège des érudits de Bonta était réuni pour une série de conférences qui permettait à certains d’entre eux d’exposer l’état d’avancement de leurs recherches. Le maître en chaire termina son exposé soporifique et eu le droit à cinq secondes d’applaudissement polies. Le recteur de l’Académie s’avança et annonça : - Maintenant nous accueillons la doctoresse O Lasira qui va nous exposer sa théorie sur l’origine du conflit entre Bonta et Brakmar. Il s’effaça pour laisser la place à une petite femme couverte de bandages, habillée de noir et portant une coquille de dragoeuf en guise de couvre-chef. Cette apparition fut saluée par un concert de rires et de « c’est kro pinjuste » singeant Calo-Miro le petit tofu noir. O Lasira sortit d’on ne sait où un marteau presque plus grand qu’elle ce qui mis un terme brutal à tout ces lazzis. – Bien, commença-t-elle, je vais vous exposer mes théories quant à l’origine du conflit Bonta Brakmar, sujet prêtant beaucoup à controverse. Si l’explication comme quoi les deux citées auraient été crées par les dieux d’Amakna pour cristalliser la lutte entre le Bien et le Mal, donne une dimension spirituelle à ce conflit, elle n’en n’est pas moins dénuée de vérité historique. De même, l’idée que Brakmar fut constituée par des renégats de Bonta qui auraient tenté de souiller l’idéal de notre belle cité n’est guère plus que de la propagande pour motiver les troupes… A ce moment une voix scandalisée s’éleva du second rang pour interrompre la conférencière : - Mensonges ! Tout le monde sait que… - Silence, aboya la petite femme. – Je ne suis pas venu écouter les élucubrations d’une prétendu savante, qui… - J’AI-DIT-SI-LEN-CE, égrena-t-elle en ponctuant chaque syllabe d’un coup de marteau sur l’érudit qui avait eu l’infortune de l’interrompre. Un silence terrifié s’abattit immédiatement sur la salle. – Bien, reprit-elle, l’origine du conflit entre les deux citées est intrinsèquement liée à l’origine même de ces villes. D’après les documents que j’ai pu trouver, les deux villes seraient nées d’un désaccord artistique entre deux frères, Bontrius et Brakmar. Les deux frères architectes avaient chacun leurs partisans et ils se mirent d’accord pour se prouver l’un l’autre leur talent en créant chacun sa ville idéale. Bontrius d’obédience plutôt classique choisit les plaines de Cania et créa ce qui est aujourd’hui le centre de la ville de Bonta. Brakmar, que l’on qualifiait de torturé, installa le cœur de sa ville dans la lande Sidimote près des rivières de lave… Cette fois se fut un ronflement grossier qui interrompit la petite femme. Elle fixa l’érudit endormi d’un œil noir, les poings et les dents serrées en tremblant d’une rage difficilement contenue. Puis, soudainement elle se détendit, attrapa nonchalamment le manche de son marteau et le lança sur l’importun, interrompant définitivement la nuisance sonore. Elle inspira un grand coup puis repris son exposé : - Aucun des frères ne parvint à convaincre l’autre de la beauté de son œuvre mais les choses en restèrent plus ou moins à ce stade. Les partisans de chaque architecte s’installèrent au près de leur élu et ainsi naquirent les deux citées. Il y avait alors de fréquents échanges entre les deux villes. En effet, chaque cité épiait l’intelligentsia de l’autre ville et adoptait automatiquement un comportement différent, les modes se succédant dans une danse effrénée ayant pour but d’afficher les différences artistiques qui les séparaient. Toutefois, il s’agissait là d’une rivalité plutôt bon enfant, qui même si elle a pu accoucher de modes d’un goût des plus douteux, n’est pas à proprement parler à l’origine du conflit ouvert que nous connaissons de nos jours. Une main se leva dans l’assistance. Suite à un hochement de tête approbateur de la conférencière, un jeune érudit visiblement affligé d’une terrible timidité se leva et émit une sorte de sifflement qui devait être une question. O Lasira lui demanda de répéter et de nouveau cette espèce de bouillie suraiguë franchit les lèvres du jeune homme. Au troisième essai, elle fit un petit geste et la diction précipitée et aigue devint lente, presque traînante et suffisamment grave pour sembler sortir du fond d’un tonneau : - Mais quelle est l’origine du conflit alors ? – J’y arrive. Les deux villes entretenaient donc une rivalité de plus en plus féroce mais ce qui mis le feu aux poudres, c’est l’affaire du mariage entre Gros Jéo et Muliette. Muliette était une bontarienne divinement belle mais tellement stupide qu’il lui fallait bien dix minutes pour trouver quoi répondre quand on lui disait bonjour. Gros Jéo était, comme le voulaient les coutumes brakmariennes de l’époque, un vrai sauvage, grossier et toujours armé. – C’est toujours le cas aujourd’hui, fit une voix parmi les derniers rangs. O Lasira plissa les yeux et serra les dents mais parvint à retenir toute action de représailles. Elle poursuivi : - Il est dit qu’ils s’aimaient mais il est plus vraisemblable que Gros Jéo convoitait plus Muliette et sa dot qu’il ne l’aimait vraiment et la fille devait regarder avec des yeux de flétan crevé quiconque lui disait qu’elle était jolie. Les parents de Muliette acceptèrent l’union dans l’espoir de conclure une alliance commerciale avec le fils du chef de Brakmar et ainsi gagner prestiges et honneurs tandis que le père de Gros Jéo accepta sous la menace de se faire découronné et décapiter dans le même geste par son fils. C’est à ce moment que cela commença à dégénérer. Il y eu d’abord la question de savoir qui organiserait le mariage. Les deux cités se chamaillèrent pendant un mois avant que Bonta ne soit désignée, d’une part parce que les bontariens de l’époque ne vivaient que par et pour le protocole, une étiquette d’une complexité remarquable. Si vous voulez un complément d’information à ce sujet il vous suffira de demander au docteur Moh’Drojam, c’est son domaine de prédilection. D’autre part, les brakmariens d’alors étaient si radins qu’il eut été inconcevable pour eux d’engager des frais pour le mariage. Le jour des noces, eut lieu un grand tournoi. La grande erreur des organisateurs fut de décréter que les combats ne se feraient pas au premier sang mais bien à mort ce qui n’aurait pas été très grave si cela ne s’était appliqué qu’aux concurrents. Malheureusement, les compétiteurs de cette époque n’avaient aucune considération pour le public qui essuya de plein fouet les attaques qui manquaient leur but. A la fin il fut décidé d’interrompre les combats avant que les invités de la noce ne soient décimés. Ceci vexa à la fois les brakmariens qui se régalaient de la vue du sang et les bontariens qui jugèrent l’interruption du tournoi comme un affront à l’étiquette. La noce ne se présentait pas sous les meilleurs auspices. A cet instant l’oratrice fit une pause, prit un verre d’eau posé sur le lutrin au milieu de l’estrade et en but une gorgée avant de poursuivre. – Vint ensuite un problème lié à l’ego de Gros Jéo : il ne pouvait se présenter dans l’église avant Muliette car celle-ci deviendrait le centre de l’attention, pas plus qu’il ne pouvait entrer derrière elle car cela correspondrait à lui donner un rang inférieur. Finalement il fut convenu que les deux promis pénétreraient conjointement dans l’église ce qui ne contenta personne. Au banquet qui suivit, récita-t-elle, un serviteur malheureux portant une soupière brûlante laissa son ombre se poser sur Gros Jéo qui étripa incontinent le pauvre homme. Comme de bien entendu la soupière se renversa sur la tête du prince de Bonta qui fut ébouillanté. Les catastrophes se poursuivirent ainsi jusqu’au moment ou la mariée offrit le traditionnel Famin’curt, le plat des époux. Le Famin’curt était composé de céréales et de cawotes. Comme par un fait exprès, dit-elle en levant les yeux au ciel, fataliste, servir un mets sans le moindre morceau de viande était considéré comme une insulte à la virilité par les brakmariens. Gros Jéo éventra Muliette. – Quelle horreur ! Quel barbare, fit une dame au premier rang. – Je vous l’accorde, répondit la petite femme. Il faut bien comprendre, poursuivit-elle, qu’alors, malgré cet acte monstrueux, la guerre entre Brakmar et Bonta n’était pas encore inéluctable. Je vous passe les réactions scandalisées pour en venir directement au passage crucial. Le champion de Bonta, un certain Lancelevin du Fût, se leva et jeta son gant aux pieds de Gros Jéo et lui fit une déclaration. J’en ai justement une copie sur moi, fit-elle en fouillant dans ses notes. Ha, voilà. Il faut savoir qu’à l’époque, les bontariens affectaient un langage ampoulé assez peu commode. Ecoutez plutôt : ‘’ Fi donc faquin. Tu osas de ta misérable lame qui jamais ne défit quelque valeureux sire en un équitable duel, éviscérer celle dont la beauté telle d’innombrables roses qui auraient simultanément déclos en un parterre aux mille fragrances et aux moult nuances, ravissait le cœur des beaux et puissants damoiseaux qui’’ patati, patata, je coupe parce que ça commence à me donner des boutons. Sans doute enhardi par le fait que O Lasira n’avait pas réagit violemment lors des deux dernières interruptions et aussi peut être par l’absence de son marteau à ses cotés, un plaisantin crut bon de rajouter : - Et c’est pour cacher tes boutons que tu portes tous ces bandages ? L’oratrice claqua des doigts et un immense poing entouré de bandages réduisit l’impudent en purée. – A un moment du discours lénifiant de sire Lancelevin, continua-t-elle comme si rien ne s’était produit, Gros Jéo s’endormit. Mal lui en prit : Lancelevin passa immédiatement des menaces à leur exécution et découpa Gros Jéo par le milieu. D’après les archives que j’ai découvertes, c’est à partir de là qu’ils se mirent plus ou moins à tous s’entretuer artistiquement. Pour finir seule une poignée de brakmariens rejoignirent leur ville, poursuivis par un corps expéditionnaire. S’ensuivit un nombre incalculable d’expéditions punitives d’un côté comme de l’autre tant et si bien que l’origine du conflit tomba dans l’oubli et que de nouvelles explications apparurent. Tant de batailles ont eu lieu, tant de soldats sont morts pour ce conflit que de nos jours, l’origine du conflit n’importe plus et que brakmariens et bontariens se battent entre eux pour le seul motif qu’ils appartiennent à deux villes en guerre permanente. La fin de l’exposé prit l’assistance de court mais celle-ci se rattrapa quand O Lasira récupéra son marteau et la conférencière sortit sous les applaudissements. Le journal précisait toutefois que le recteur de l’Académie insista poliment mais fermement pour que la doctoresse expose ses futures théories par écrit. Le général, horrifié par ces explications qui pourraient lui coûter son job si elles venaient à trop se répandre, s’empressa de brûler le journal et prépara discrètement ses troupes pour un assaut brutal et soudain au son du nouvel hymne qui avait été approuvé dans la matinée. | |
| | | Lazee Complètement marteau !
Nombre de messages : 1352 Age : 43 Localisation : dans les transports >< Date d'inscription : 14/03/2005
| Sujet: Re: [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar Ven 16 Sep - 14:14 | |
| et poursuivons avec l'hymne de bonta qui fait partie du même concours: L’appel du milicien
Milicien, à l’appel du cor Rejoins le grand ost et accours Dans la plaine, le corps à corps Avec tes frères viens au secours Viens défendre notre idéal Viens bouter loin d’ici le mal Pour Bonta, dans toute sa gloire ! A l’assaut, gagnons la victoire !
Milicien, le cor qui t’appelle Par les plaines et par les landes Effrayés par tes blanches ailes Brakmariens implorants se rendent Viens mener cet assaut final Viens châtier ces suppôts du mal Pour Bonta, dans toute ça gloire ! A l’assaut, gagnons la victoire !
Milicien, souffle dans le cor Appelle à toi tes compagnons Offre le rempart de ton corps Afin de vaincre les démons Viens ton nom est dans les annales Viens fair’ ton retour triomphal Pour Bonta, dans toute sa gloire ! A l’assaut, gagnons la victoire ! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar Ven 16 Sep - 18:19 | |
| gniiiiiiii (résiste a l'envie de lire le texte pour pas être influençée dans sa création !!!! Vile Lasi, t'as pas honte de me torturer comme çà :'( ? |
| | | JudoBoy Jude Law
Nombre de messages : 4919 Age : 43 Localisation : Nantes Date d'inscription : 09/03/2005
| Sujet: Re: [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar Ven 16 Sep - 23:21 | |
| Jules Hiette et Rome Éhoo - Citation :
- Il y fort fort longtemps, alors que le Dragon cochon portait encore des couches-culottes, les deux plus puissantes familles d’Amakna décidèrent de partir à la conquête de l’ouest sauvage…
La famille Hiette, de race Eniripsa, bûcherons de père en fils, créa son village à l’ouest du bois de Litneg. Ils y furent suivis par de nombreux amis, car leur philosophie basée sur l’altruisme, la bonté et la justice avait converti bon nombre de leurs voisins ! Ils baptisèrent ce village Bonta afin que les générations futures se rappellent de ces valeurs La famille Éhoo, de race Sram, mineurs exceptionnels, s’installa dans une zone volcanique, mais envahie de mines prometteuses ! De nombreuses personnes, jalouses de leur fortune, voulant les doubler lors de la découverte de ces mines, ou simplement profiter de leur pouvoir les y suivirent. Pare Éhoo, le fondateur féru d’argau (langage secret de la famille) baptisa le village Brakmar, car il espérait pour sa ville une croissance et une robustesse dignes de ce mot que lui seul comprenait. Le temps passa, laissant prospérer Brakmarois et Bontariens… Ils travaillaient de pair, échangeant bois contre métal, afin que chacun jouisse des matières premières dont il avait besoin en quantités suffisantes. Cependant, hors de ces échanges, il était interdit d’aller dans la ville voisine au comportement si différent. Alors que le Dragon cochon sortait de l’adolescence (il faut savoir qu’un an chez les dragons cochons équivaut à vingt), naquirent deux enfants : le petit Jules Hiette, eni aux ailes immaculées et aux cheveux bruns chez les Bontariens, et la jolie Rome Éhoo, Sram aux les couleurs orange et noir chez les brakmarois. Ils grandirent séparément, ne s’entrevoyant que lors des échanges mensuels, mais déjà un sentiment bizarre les unissait. L’intrépide Rome décida de s’inviter dans un bal costumé Bontarien afin de revoir cet étrange jeune homme au sourire éclatant. À peine était elle arrivée que Jules l’avait démasquée ! Ils s’éclipsèrent alors afin de faire connaissance de manière plus approfondie. Dès lors, tous les soirs, quand les villes s’endormaient, ils se rejoignaient pour partir ensemble à l’aventure loin de ces peuples qui n’acceptaient de se voir qu’une fois par mois… Le temps passa et l’amitié se transforma vite en amour, presque aussi vite que les soupsons des parents en preuves irréfutables ! Et c’est lors d’une réunion mensuelle que le drame éclata : Esketumenten, le père de Rome lui interdit de revoir son jules : « Moi vivant, jamais une Brakmaroise ne se rabaissera au point de s’unir à un Bon à rien… Jamais je n’aurai cru ma fille capable d’une telle erreur, et je m’en vais la corriger comme il se doit ! » Jules protesta : « Nous avons gravé notre amour dans l’écorce du Chêne mou ! Nous nous appartenons l’un l’autre, alors rends à Jules ce qui appartient à Jules ! Nous connaissons nos différences, mais voulons en profiter pour nous améliorer et notre amour n’en sera que plus fort. » Esketumenten rétorqua : « Rome ne t’appartient pas, Jules. Je suis le dirigeant de Brakmar, et tout Brakmarois me doit obéissance aveugle et totale, mais je suis en plus son père ! Si Rome refuse de m’obéir, je la forcerai à le faire ! Je l’enfermerai tous les soirs afin de bien m’en assurer… et dorénavant vous vous passerez de nos pierres. » Le Pope Hiette, le père de Jules, qui avait pris soin de ne pas intervenir jusqu’à présent répondit : « S’il doit en être ainsi, vous comprendrez que nous ne pourrons nous permettre de vous fournir le bois dont vous avez besoin. Ceci était donc la dernière des réunions de nos deux familles… » Cet évènement consterna tout le monde, les prix du bois et du métal grimpèrent en flèche pour atteindre les sommets que nous connaissons actuellement. Presque tout le monde reprit une existence normale, dans un environnement moins prospère. Seuls les deux amoureux dépérissaient à vue d’œil. Ne pouvant tenir bien longtemps loin de l’homme de sa vie, Rome, qui était une experte en confection de poison (ben oui quoi, elle était expérimentée Rome, elle ne s’est pas faite en un jour ;-)) décida de mettre un terme à son existence, après avoir écrit un mot d’adieu à Jules. Le lendemain, son père, lors de sa visite journalière, découvrit un corps inerte au milieu de nombreuses fioles. Un bref diagnostic lui permit de s’assurer de la mauvaise nouvelle. Son pouls inexistant, la bave verte autour de sa bouche et des excréments pleins ses vêtements, ce cadre suffisamment repoussant ne lui laissait aucun doute : Rome s’était donné la mort ! Son oncle Neron proposa de la brûler afin de purifier son âme salie par le suicide. Son corps fut entreposé dans une chapelle afin d’être brûlé le lendemain à l’aube… À l’annonce de la mort de Rome, Jules devint comme fou. Il fugua et l’on ne le retrouva jamais. Le jour de la cérémonie, tout Brakmar était présent. Quelle ne fut pas leur stupeur, quand les portes de la chapelle s’ouvrirent sur un cercueil vide ! Pour la famille Éhoo, les auteurs du crime étaient clairs : aucun Brakmarois n’aurait pu commettre une telle ignominie… Seuls ces prétendument justes et amicaux bontariens pouvaient en être les auteurs. Dans la minute qui suivait, Esketumenten rédigeait une rageuse déclaration de guerre envers Bonta, sans qui la vie aurait pu continuer son cours passionnant, sans que Rome ne tombe. Quelle ne fut pas sa surprise, une fois la lettre terminée, de recevoir une lettre équivalente en provenance de Bonta : « Si vous n’aviez pas interdit la relation entre nos enfants, aucun d’eux ne serait mort et nos relations se seraient même améliorées. Vous n’êtes pas dignes de gouverner une ville si puissante, nous allons vous en déloger ». Le lendemain, les troupes se faisaient face pour la première d’une interminable série de batailles, confrontations, conquêtes dont les descendants ne se rappellent même pas le déclencheur…
Cependant, quelque part à l’entrée d’un cimetière en Amakna, un vieil alchimiste rendu immortel par ses potions dit à qui veut l’entendre qu’il a vu les deux amoureux s’acheter un billet d’aller simple vers l’île de Moon ! Il dit même posséder le message qu’avait envoyé Rome à Jules juste avant son « faux » suicide ! Mais tout le monde sait bien que ses essais de potions ont eu de nombreux effets hallucinogènes, dont certains sont permanents… Hymne de Bonta - Citation :
- Allons, êtres de lumière
Bannir nuit et désespoir Qui menacent notre terre Exterminons ces barbares
Levez vous ! Allez au front ! Nous ne sommes pas des couards Brakmarois, nous vous vaincrons Avant qu’il ne soit trop tard
Défendons notre forêt La situation s’aggrave Nous devons les repousser Ils finiront dans leur lave
Une fois la victoire acquise La récompense viendra Un vent nouveau, une brise Sur Amakna soufflera
Oui! C’est au fil de ta lame Que le dieu de la victoire Illuminera leur âme Le jour se lève sur brakmar Voici quelques propositions pour rendre cette histoire plus crédible :- remplacer les propos de Vib Cheber (sauf pour ceux qui veulent devenir alchis) en 11/16 par « Je les ai vus !! Ils ne sont pas morts ! Si brakmarois et bontariens savaient… » - créer une maison sur le territoire des kaniboules dont ils interdisent l’accès - quête d’alignement de haut niveau : aller vérifier les dires de l’alchimiste : aller le voir, dans le dialogue apparaît la possibilité d’acheter une fleur rare qui repoussera les kaniboules bloquant l’accès à la maison. Dans la maison se trouve le vieux Brutus, un sram avec des ailes d’eni, qui certifie être le fruit de l’union de Rome et Jules, et passe son temps à se lamenter d’avoir tué son père pour prendre le contrôle de sa mère. En guise de preuve, il donne une photo de ses deux parents prise par l’agent avant qu’ils rentrent dans le canon qui les a expédiés vers Moon et suggère de retourner voir vib avec cette photo. En voyant la photo, Vib accepte de donner le message envoyé par Rome à Jules : « Je vais m’empoisonner afin que tout le monde me croie morte. Au bout de 24h mon corps reprendra vie. Sois là à mon réveil, et nous fuirons ce monde incompatible avec notre amour… » De retour dans leur cité, le meneur explique que même si on connaît la vérité, il faut la taire car sinon les peuples n’auront plus de raison de s’affronter ^^ - ajouter quelques pnj de nom Hiette dans Bonta et Éhoo dans Brakmar. Lors de ces batailles, ils ont perdu leur souveraineté et sont des citoyens normaux (les Éhoo attendent bien sur leur heure pour reprendre le pouvoir) - Je n’ai pas osé faire un hymne en fonction de mon histoire, au cas où seul l’un des deux serait retenu. Un des deux ça serait déjà pas si mal ^^
Dernière édition par le Jeu 22 Sep - 23:18, édité 1 fois | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar Dim 18 Sep - 23:48 | |
| et bien je viens de finir mon histoire, et je suis perplexe.... Pour une fois point de gouaille ni de jeux de mots, mais une histoire plutot sombre et sérieuse, et oui, je m'en veux ^^ d'après quelques avis recueillis mon histoire ne serait pas trop mal (elle compte 1999 mots ) Je ne la posterais pas sur le forum avant le 23, mais tous les membres souhaitant l'obtenir n'ont qu'à me la demander via msn il n'y a pas de soucis J'ai pleine et entière confiance en la probité des moongangiens, mais n'oublions pas que le forum est ouvert au public, et que les murs ont des yeux Mon histoire a quelques points communs avec celle de Lasi bien que je ne l'ai lue qu'après avoir écrit la mienne !!! Mon hymne est en préparation Voilà voilà ^^ |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar Mer 21 Sep - 8:56 | |
| je viens de voir que mon histoire comportait 2400 mots et non 1999 -___- en effet, j'avais regardé dans les propriétés du fichier et pas dans les statistiques :'( FAUT QUE JE COUUUUPE !!! (Hein? mais non Bomanz, je ne parlais pas de toi !!!) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar Jeu 22 Sep - 23:29 | |
| La Vengeance du Phoenix : - Citation :
- « Bonjour Seigneur » dit le garde surveillant l’entrée du poste médical du palais.
D’un bref hochement de tête, un grand Iop brun somptueusement vêtu salua le milicien et entra dans l’infirmerie.
Le Médecin en chef, un Eniripsa nommé Solinn, accueilli l’important personnage avec un bref salut.
« Comment vas t’elle ? » demanda le iop.
« J’ai tout essayé, mais son état ne s’améliore pas… Je crains que mes compétences ne suffisent pas à la sauver Messire… »
« Laissez-nous seuls » ordonna le visiteur.
Le médecin sorti, il s’approcha d’un lit dans lequel reposait une ravissante Iop. D’un geste plein de mélancolie il lui caressa doucement les cheveux. « Khivaira, je t’en prie, ne m’abandonne pas… J’ai tant besoin de toi… »
Les yeux du noble se fermèrent et sa bouche se crispa…
Soudain, quelqu’un frappa à la porte.
« Entrez » dit le iop, son visage redevenu un masque impassible.
Un garde entra : « Monseigneur, votre frère vous demande dans sa chambre, c’est urgent ! »
« J’y vais tout de suite »
Et ils sortirent de la pièce.
Un garde annonça : « Son Altesse le Prince Brakmar, Général en chef des Armées du Sud »
Brakmar entra dans une chambre vaste et luxueuse, celle de son frère, l’empereur d’Amakna : Le Seigneur Bonta.
Les deux frères étaient jumeaux et Brakmar était le cadet.
Bonta était d’un naturel ouvert et sympathique, il gérait essentiellement la politique et les relations diplomatiques avec les contrées voisines. Brakmar quant à lui s’occupait des affaires militaires. Il gérait les conflits d’une poigne de fer et était redouté par ses hommes, mais également admiré pour son brillant esprit tactique. Bien que forts différents, les deux frères étaient très proches et s’entendaient à merveille. Leurs talents complémentaires avaient conduit l’empire d’Amakna au cœur de l’économie mondiale, malgré l’opposition farouche de l’ordre du Phœnix, un mouvement rebelle voulant renverser le pouvoir en place.
« Comment va ta femme ? » demanda Bonta à son jumeau.
Le visage du général se renfrogna : « aucun changement… Solinn dit avoir tout tenté mais rien ne fonctionne… »
Bonta dit sur un ton compatissant : « Je suis navré Brakmar, mais il va falloir que tu t’absentes un moment… Je sais que tu voudrais rester auprès de ton épouse mais les troupes de l’Ordre du Phœnix se sont massées au sud et je crains qu’elles n’attaquent en masse les villages portuaires. Nous devons défendre notre peuple avec tous les hommes disponibles et pour les commander tu es indispensable… »
Brakmar poussa un long soupir « Très bien… Je pars tout de suite… Prends soin de Khivaira durant mon absence… »
« Je te le promets mon frère »
Brakmar entra dans la somptueuse chambre qui était la sienne. Il s’approcha de son lit, et dégaina soudain son épée en faisant volte face. Devant lui, un xélor au sourire narquois était assis dans un confortable fauteuil et dardais sur lui un regard amusé. Un grand sourire étira les lèvres du Iop :
« Tiens donc ! Le chef de l’Ordre du Phœnix qui vient de lui-même s’offrir au tranchant de ma lame ! Quelle bonne surprise ! »
« Je suis venu te proposer une alliance Brakmar, pas te combattre. »
« Vraiment ? tu ne manques pas d’audace Délos ! Mais je ne pense pas que tu puisses m’offrir quoi que ce soit d’intéressant ! »
« Ah ? La vie de ton épouse ne te semble t’elle pas un présent assez somptueux ? » rétorqua Délos
Brakmar serra plus fort la garde de son épée : « c’est impossible, nous avons tout tenté ! Tout ! »
« Rien n’est impossible à l’ordre du Phœnix mon cher Brakmar, nous avons passé des siècles à étudier les secrets de la vie et de la mort… Et il existe une chose et une seule qui peut sauver ta bien aimée du mal qui la ronge… »
« Qu’est-ce ? Dis le moi ou je fais tomber ta sale tête de tes épaules !!! » Cria le prince.
Délos sourit : son plan fonctionnait…
« Seigneur Bonta, Seigneur Bonta !!! Vite, venez à l’infirmerie !» cria un garde affolé en entrant dans la salle du trône.
« Que se passe t’il ? » demanda le souverain
« C’est votre frère, il est devenu fou, il a massacré presque tout le monde ! »
Bonta se rua vers l’infirmerie escorté par ses gardes et y trouva un spectacle de désolation. La pièce était ravagée, les meubles détruits, et des corps de soldats morts jonchaient le sol.
Solinn, était assis sur une chaise, un bandage lui enveloppant le crâne. Il tendit une enveloppe cachetée a Bonta.
« Votre frère est entré, criant qu’il ne nous laisserait pas faire du mal a son épouse. Il a tout détruit, et m’a laissé ce message pour vous avant de partir en emportant Khivaira… »
Bonta décacheta l’enveloppe qui portait le sceau de Brakmar.
« Bonta, tes manigances ont échouées, tu savais comment sauver Khivaira mais tu n’as rien fait. Je croyais en toi et tu m’as trahi ! Heureusement, l’Ordre du Phœnix m’a révélé la vérité et Khivaira vivra. Je te renie, traître, les armées du Sud iront rejoindre les forces de l’ordre du phœnix. Bientôt ton empire tombera et tu regretteras ta trahison. » Signé Brakmar, Général des forces de l’Ordre du Phœnix
Bonta fronça les sourcils « un moyen de sauver Khivaira ? Je ne vois pas ce que… » Son visage devint soudain d’une pâleur mortelle.
Bonta ressortit et dit : « que l’on me prépare mon cheval, vite ! et donnez-moi une épée »
Le chef des gardes rétorqua « Messire, mais où allez-vous ? »
« Arrêter mon frère, il n’a aucune idée du désastre qu’il va provoquer et moi seul peut encore l’empêcher d’agir »
Il monta sur son cheval et partit au galop.
Bonta chevaucha comme jamais. Il se maudissait de ne pas avoir parlé du blason à son frère après que sa femme soit tombée malade, mais il s’agissait d’un secret que seuls les Rois d’Amakna devaient savoir, et Brakmar n’était que prince… Il y a des millénaires, une guerre terrible avait fait rage sur la planète. Les gens s’étaient entretués pour le contrôle des Dofus, les six derniers œufs de dragons existant au monde. La rumeur voulait que celui qui détenait le contrôle des œufs pouvait voir tous ses rêves se réaliser. Le monde était au bord du chaos, quand un Féca d’une puissance phénoménale avait lancé un sort qui avait endormi l’âme des Dofus, les transformant en des objets inutiles. Leur âme avait été scellée dans un temple proche du palais, et seul le Blason des rêves dont s’était servi le Féca pouvait rendre la magie des œufs à nouveau active.
Bonta se doutait que son frère envisageait d’utiliser le pouvoir des Dofus pour soigner son épouse, mais ce que Brakmar ignorait c’est que le réveil des Oeufs provoquerait également l’éveil des six Gardiens, et que des hordes de monstres déferleraient sur Amakna en semant terreur et désolation sur leur passage. Il fallait empêcher cela !
Bonta arriva enfin au temple. Il entra dans la salle principale et vit son frère, le blason à la main, devant la stèle où se trouvait enfermée l’esprit des Dofus. Près de lui reposait le corps de son épouse encore inconsciente et un Xélor contemplait la scène avec une lueur cruelle dans le regard.
Brakmar tourna la tête et vit son frère : « Alors, tu es venu assister à ma victoire ? » Il enfonça le blason dans l’orifice prévu à cet effet... La stèle vola en éclat, et Bonta sentit une puissance comme il n’en avait jamais connu effleurer son esprit puis disparaître. Quand il regarda autour de lui, Bonta constata qu’il était à genoux, et que Brakmar s’avançait vers lui, son épée à la main, deux gigantesques ailes rouge sang flottant dans son dos.
Il dégaina son épée, se releva et se mit en garde. Dans une glace au fond de la pièce, il vit qu’il avait lui aussi deux ailes, d’une blancheur immaculée. « En garde Bonta » lui dit Brakmar. Bonta voyait dans les yeux de son frère une lueur de folie meurtrière qui le convainquit que la discussion était vouée à l’échec. L’un des deux hommes mourrait aujourd’hui…
Les deux frères avaient eu le même enseignement et connaissaient leurs talents respectifs par cœur. Ils échangèrent plusieurs attaques mais leur habileté était égale. Bonta sentait ses forces faiblir. Il n’avait plus manié d’épée depuis un moment tandis que son frère parcourrait les champs de bataille continuellement. Il commençait à douter de l’issue du combat.
Alors il tenta une manœuvre désespérée. Il fit mine de vouloir lancer une attaque sur le flanc de Brakmar, exposant ainsi son torse. Son adversaire, en épéiste émérite, se rua dans cette brèche défensive, son épée prête à embrocher le cœur de son ennemi… et s’écroula, l’épée de Bonta plantée dans le ventre…
Bonta avait dévié sa lame dans un mouvement très complexe qu’avait tenté de leur apprendre leur vieux maître d’arme. Jusqu’à ce jour, aucun des deux frères n’avait réussi à maîtriser cette technique.
Brakmar regarda Bonta et lui dit : « Bien joué… Adieu Bonta… Nous nous reverrons en enfer ! » Et ses yeux se fermèrent.
Bonta retira son épée du corps de son frère, la jeta sur le sol et pris le pouls de Brakmar, des larmes coulant sur ses joues. Hélas la mort avait fait son office.
« Et bien ! Le grand Bonta qui pleure ! Quelle spectacle pitoyable » Dit le chef de l’Ordre du Phœnix en souriant. Il leva une main, et l’épée de Bonta se souleva pour venir s’y loger.
Le Xélor enfonça l’épée dans le cœur de Khivaira en regardant Bonta droit dans les yeux. Puis il reprit.
« J’ai éveillé les Dofus grâce à ton idiot de frère, toi je te laisse vivre, hâte-toi de partir car mes troupes approchent, nous nous affronterons un jour, n’ai crainte, mais pas aujourd’hui. »
Désarmé, sans gardes, brisé par la douleur d’avoir tué son propre frère et épuisé par le récent combat, Bonta compris qu’il devait fuir.
« Nous nous retrouverons Délos, et tu expieras tes crimes de ma main » et il repartit vers sa demeure.
Délos sourit et dit à voix basse : « j’ai encore besoin de toi, mais aussi de ton frère cher Bonta… Vous vous affronterez encore longtemps, puis vos descendants prendront le relais... Lorsque vos affrontements auront éliminé les Gardiens des Dofus, alors je m’emparerais des Dofus. Mais prenez tout votre temps, j’ai l’éternité pour régner sur ce monde »
Il sortit une fiole emplie d’un liquide rouge, et la répandit sur le corps de Brakmar qui ressuscita.
« Que s’est-il passé ? » demanda Brakmar.
« Votre frère vous a tué, et grâce à la magie du Phœnix je vous ai sauvé. »
« Et Khivaira ? »
Montrant l’épée de Bonta planté dans la poitrine de la jeune femme, Délos repris : « Hélas sa maladie avait éliminé les résistances psychiques qui m’ont permis de vous sauver… Pour elle mon pouvoir est impuissant… »
Brakmar s’écroula, en hurlant de rage et de douleur. Des larmes coulèrent sur son visage et il brandit le poing : « Bonta, je te maudis toi et tes partisans ! Je vous exterminerais tous, jusqu’au dernier ! » Le visage du Xélor restait impassible, mais ses yeux brillaient d’une satisfaction intense. Les deux frères étaient désormais ennemis mortels, et les Dofus étaient à nouveau dans ce monde prêts a être retrouvés. Le sort du monde était entre ses mains.
Ils sortirent, emportant le corps de Khivaira avec eux. De l’ombre, un Feca sortit. Il contempla la salle dévastée, et murmura « bien joué mon vieil ennemi… Mais je suis toujours là et tu ne seras pas si facilement victorieux… » Et il disparu dans un éclair.
Hymne a Bonta - Citation :
- Nous sommes les Bontariens, nous n’avons peur de rien,
Nos armes à la main, nous suivons les chemins, Pourfendant ces gredins, les odieux Brakmariens, Et tendant notre main à tous les orphelins.
Protégeant les âmes pures, dans nos fringantes armures, Notre travail est dur mais soyez en tous surs, Nous maintiendront l’allure sans l’ombre d’un murmure A travers la nature flamboyante de verdure.
Des troupes de Brakmar, nous sommes le cauchemar, Patrouillant dans le noir, affûtant nos regards, ne laissant au hasard nulle ruelle, nul boulevard, Nos superbes histoires resteront dans vos mémoires.
Habiles guerriers, aimés et respectés, Sous nos heaumes dorés, nos armures argentées, Nous vivons pour aider, défendre et protéger, Tous ceux qui rêvent de paix, d’amour, de liberté.
Habiles Osamodas, fougueux Iops ou fiers Cras, Nous vivons à Bonta, dans de belles villas, En nous ayez tous foi, respectueux des lois, Nous seront toujours là pour défendre Amakna.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar Jeu 22 Sep - 23:35 | |
| Bon, 3 moongangiens aux 3 premières places çà le fait non ? Vivement les résultats et bravo a tous les participants pour leurs efforts |
| | | JudoBoy Jude Law
Nombre de messages : 4919 Age : 43 Localisation : Nantes Date d'inscription : 09/03/2005
| Sujet: Re: [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar Dim 25 Sep - 16:07 | |
| bon j'ai beaucoup aimé nos 3 productions (surtout la mienne ) mais si j'étais jury j'élirai : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Demos! Son histoire colle beaucoup avec l'univers de dofus, à condition que les devs acceptent les deux divinités nommées dans l'histoire... Voilà je suis pas un jury, mon vote ne compte pas, dommage pour toi demo [edit] pour les hymnes par contre je suis désolé de vous annoncer qu'on peut faire mieuxque nos 3 production à mon avis | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar Mar 4 Oct - 12:04 | |
| Démos, la réponse, 3 ans plus tard ^^ Merci Judo, mais je ne pense pas que mon histoire sera primée. Je la trouve certe pas mal (encore heureux vu que je l'ai écrite ^^) mais elle est peut être un peu sombre pour les devs. Pas vraiment de jeux de mots ou de situations cocasses comme dans vos histoires. Et puis la limite de 2000 mots a drolement limité ma créativité :/. Pour les hymnes je trouve qu'on ne s'en est pas mal sorti quand même tu es sévère ^^ allez courage J- 4 |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar Mer 5 Oct - 9:33 | |
| J-3 la tension monte |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar Jeu 6 Oct - 10:27 | |
| J-2 *termine de se ronger les ongles et attaque les doigts* |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar Ven 7 Oct - 8:43 | |
| J-1 *en est aux coudes avec un peu d'huile pour que çà passe mieux * |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar Jeu 13 Oct - 12:54 | |
| en théorie résultats ce soir ! espérons !!!! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar Ven 14 Oct - 18:38 | |
| C'est pas que çà m'énerve, mais ils en sont presque a 1 seaine de retard -___- et sur la semaine il y a eu 2 "on vous envoie les résultatstout de suite" Sachant qu'il y faut choisir les 3 meilleurs sur 20 et qu'ils ont eu 2 semaine c'est un peu grrrr >< Ma solution : ils prennent les textede Judo, Lasi et moi, et ils tirent nos places au sort, NA |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar Sam 15 Oct - 10:30 | |
| FULMIIIIIIIINNNNNNEEEEEEEEE RHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA |
| | | Lazee Complètement marteau !
Nombre de messages : 1352 Age : 43 Localisation : dans les transports >< Date d'inscription : 14/03/2005
| Sujet: Re: [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar Lun 17 Oct - 13:47 | |
| les résultats ont été donnés on a pas gagné | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar Lun 17 Oct - 18:34 | |
| aucun gouts ces joliens -___- |
| | | Miss-kiwi Créature de la nuit
Nombre de messages : 376 Date d'inscription : 09/03/2005
| Sujet: Re: [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar Lun 17 Oct - 18:50 | |
| Mauvais perdant!!!! L'important c'est de participer! Enfin pour ceux que ça interesse biensûr! | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar | |
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| | | | [concours jol] origine du conflit Bonta/Brakmar | |
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