Mes persos :dark-pidipidi, cra "coup critique" comme qui dirait, ayant sombré dans le côté obscur de la force
Mes métiers :Forgeur de marteaux niveau 37 (stagne depuis environ 1 an)
Alchimiste niveau 98 (encore un petit effort, vive la flemme)
Irl :Je suis le frère de kiwi et lipa, je connais bien Iloma. Nous habitons en banlieue parisienne, tout près d’Evry.
Je suis au lycée, en terminale S.
Ce que j’aime :Le PvP ! Et puis les coups critiques, ca c'est top
Le système d'évolution
l'île des panda
Ce que j’aime pas :Les blagues à dem…euh non, xp mes métiers !
Mes sorts lvl 6
L’histoire de mon personnage, pidipidi, devenu dark-pidipidi :Tout d’abord d’où vient mon surnom, pidipidi ?
Il vient d’une ancienne histoire, que les habitants d’Amakna, la province éternelle, racontent à leur enfants pour les faire rire. Elle parle de petites créatures, les pidipidi, qui disparaissent lorsqu’on veut les attraper. On me surnomma ainsi pour plusieurs raisons : l’art de se dissimuler quand il le faut mais aussi et surtout car cette histoire m’avait fait énormément rire.
Mon père était un aventurier cra et il fut notamment membre de la 1ere expédition amenant un bateau parti de Sufokia pour atteindre l’île des wabbits. Ce fut un succès et mon père en a toujours gardé un souvenir très profond. Souvent, le soir, il me racontait le périple sur les flots qui dura plusieurs semaines, puis l’arrivée sur l’île et la découverte des tous premiers wabbits, petites créatures à l’apparence attachante mais en fait bien plus dangereuses et hostiles.
C’était ma mère qui m’élevait, mon père étant bien souvent absent. Elle m’appris de nombreuses vertus comme le respect, le contrôle de soi, la diplomatie… c’est une femme admirable et adorable. Je ne sais pas ce que je serais devenu sans elle, tant son apport et sa présence m’ont été bénéfiques.
J’ai trois petites sœurs : Miss-kiwi que, malgré sa résistance, due à sa mentalité féca, j’ai toujours essayé de protéger. C’est elle que j’ai le mieux connu, en raison de notre âge rapproché et de mon rapide départ de notre foyer. Tiatua, qui marche sur les traces de sa sœur et enfin Lipa, la dernière, que nous surprotégeons tous.
Les années passaient à leurs côtés et je finis par avoir travaillé ma magie pendant près de quinze ans. Je contrôlais les sorts rudimentaires cra, comme la flèche magique, mais me suis spécialisé dans les sorts demandant plus de force physique, comme la flèche chercheuse. Mes entraînements payèrent : j’ai gagné un petit concours de précision, organisé dans mon quartier, pour les jeunes de mon âge.
C’est alors que je me sentais enfin prêt pour rejoindre mon père qui était dans le sud de la province, entrain de rechercher avec ses amis les prestigieux et très rares kwaks de glace. Cela se passait avant que ces magnifiques créatures ne migrent vers les montagnes du Nord et deviennent plus communes. Je marchais depuis quelques heures, lorsque je rencontrai une étrange créature, ressemblant à un arbre qui se déplace à la manière d’une arakne. Elle me barrait la route, et avançait dans ma direction. Il me fallut peu de temps pour comprendre qu’elle était agressive : j’étais contraint de l’affronter. Le combat était dur, et j’essayais de fuir, mais il sorti d’un buisson une autre de ces créatures : j’étais cerné…
C’est à ce moment-là que je vis apparaître un homme, grand et fort se diriger vers moi : c’était mon père ! Il me prit dans ses bras, et se mit à courir très vite, il fit un bond de géant et nous étions déjà derrière un rocher. Après m’avoir donné une potion, il sorti de notre cachette, dégaina une flèche qui explosa, tuant d’un coup près de 5 petites araknes, sorties des monstres des forêts. Je lui demandai :
« Qu’est-ce que ces créatures ?
-Ce sont des abraknydes, les créatures les plus dangereuses de la forêt. Cela sont encore jeunes, les abattre ne sera pas difficile.»
Il sorti de nouveau, décocha une flèche très puissante qui tua sur le champ l’un des monstres. L’autre n’était plus qu’à quelques mètres, mon père écarta sa cape, décrocha de sa ceinture étincelante une petite dague, qui paressait inoffensive, se précipita sur le monstre et de 2 coups le découpa. Je crus voir la lame se teindre en bleu à mon plus grand étonnement, mais mon père la rangea très vite.
Apres de brèves retrouvailles, nous partîmes pour retrouver l’entrée d’un labyrinthe, ou Malokus nous attendait. Mon père m’expliqua que c’est lui qui l’avait prévenu de mes ennuis mais il n’était pas assez rapide pour venir me secourir et mon père avait dû venir seul, sachant qu’il triompherait facilement. Malokus était l’un des plus puissants magiciens de l’époque, il maîtrisait le temps, les éléments et les créatures.
En chemin, nous l’avons croisé. Il courait. Sa cape était sombre, son chapeau noir, et ces bottes vertes et resplendissantes inspiraient le pouvoir. Il s’arrêta, essoufflé et nous lança :
« courez, courez ! »
Il n’est pas courant qu’un excellent magicien vous dise de fuir ; alors quel danger avait-il bien pu rencontrer ? Très vite nous le sûmes, une dizaine d’hommes et femmes étaient plus loin, courant eux aussi. Ils étaient vêtus de bleu et de blanc, la plupart était des hommes. Je crus reconnaître la carrure d’un iop, qui était le 1er, puis derrière des écaflips, je crois aussi qu’il y avait un osamodas et des fécas. Mais nous ne pouvions plus fuir, ils nous rattrapaient, sans doute étions nous ralentis par ma faute. Nous nous cachâmes en haut d’une colline et Malokus nous expliqua ce qu’il se passait :
« Ce sont des justiciers, tous très puissants. Ils croient que j’ai volé un dofus, mais je n’ai rien.
- Je te crois, ne tentons pas l’affrontement, restons cachés. » répondit mon père.
Mais ils nous trouvèrent, et le combat eu lieu. Mon père me dit de ne pas bouger, de rester là.
J’entrevoyais la bataille qui faisait rage. Des sangliers et des prespics avaient étés invoqués de leur coté, mais Malokus avait fais sortir de la terre une puissante créature de pierre et un redoutable bwork. Il avait aussi lancé toutes sortes de sorts pour ralentir les ennemis. Mon père lançait des flèches très vite. Celles-ci transpercèrent un écaflip qui tomba, inerte. L’osamodas ne pouvait rien faire contre les créatures de Malokus et se fit foudroyer par un éclair, déclenché par le bwork. Il était affaibli mais Malokus le tua d’un espèce de tremblement, le rayon obscur. Le iop atteignit Malokus, qui se téléporta, atterrissant près d’un écaflip. Malokus créa des poussières temporelles, affaiblissant considérablement l’écaflip. Le iop revint en un bond. Il sauta en l’air, écrasant Malokus à la retombée. Malokus était à terre, inerte…
Mon père, emplit de rage coura jusqu’à un féca, détruisit son armure et le poignarda, à mort.
Je me retournai. Je crois que je commençais à pleurer. J’entendais alors s’entrechoquer des lames pendant quelques secondes puis plus rien.
J’attendais alors que mon père vienne me dire que tout était fini, que nous pouvions repartir. Mais il ne vint pas. Je compris alors qu’il n’avait pas été victorieux. J’attendis, puis je levai la tête, les vainqueurs étaient partis. Malokus était la et mon père gisait à ses côtés. Il me regarda, une ultime fois et me dit :
« Prend soin de t… »
Puis il ferma les yeux, définitivement.
Depuis ce jour, mon cœur s’est assombri et est empli de haine à l’encontre de ces « justiciers », qui ne cherche pas à comprendre ce qu’il se passe et qui vous attaquent parce qu’on vous prend pour quelqu’un de malhonnête. Je me suis juré que je retrouverai ces assassins et que je les tuerai, à mon tour. Je me venge en attendant sur ceux qui essaient de devenir comme eux, des « justiciers » mais qui ne sont rien d’autre que des imbéciles. J’ai depuis pris le surnom de dark-pidipidi.